
BMW 2000 avec peu de gadgets
Le conducteur ne trône plus sur un canapé, mais est assis au centre de la voiture devant un tableau de bord clair et a une vue parfaite sur l’extérieur. Espace à l’avant, à l’arrière, dans le coffre : très correct. Une forme lisse et peu de gadgets sont payants.

Neutre malgré l’inclinaison
Attention : plus ferme ne veut pas dire ferme. Les conducteurs de berlines sportives modernes doivent d’abord prendre confiance dans l’idée que cette BMW est une ancêtre.

Mais bien sûr, BMW ne pouvait pas non plus faire de magie dans les années entre la vie et la mort, où seul un grand investisseur a réussi à inverser la tendance (encadré à gauche) et où, entre autres, une fabrication plus rationnelle que celle de l’ange baroque trop coûteux était nécessaire à la survie. C’est pourquoi les matériaux et les détails n’ont pas l’air d’être au point, la BMW n’a pas l’impression de qualité des deux adversaires indirects ni des modèles ultérieurs du groupe. Elle a également coûté plus cher que prévu : au lieu des 8500 marks promis lors de l’IAA, la 1500 figurait sur la liste des prix à 9485 marks.
Mais qui pourrait en vouloir à une fusée pour de tels détails ? Le cap était finalement le bon : toujours en direction du soleil, de la lune et, précisément, des étoiles.
Caractéristiques techniques et prix : BMW 2000
– Cylindrée 1990 cm3
– Puissance 74 kW (100 ch) à 5500 tr/min
– couple max. 157 Nm à 3000/min
– Accélération 0-100 km/h 13,0 s
– Vitesse maximale 168 km/h
– Transmission Quatre vitesses, manuelle, roues arrière
– L/L/H 4500/ 1710/1450 mm
– consommation 13,0 l N/100 km
– Poids 1150 kg
– Prix neuf (1966) 11 475 marks