BMW mise sur l’électrique et le thermique
Dans ce contexte, le constructeur munichois mise sur la diversité des propulsions et ne veut pas produire uniquement des voitures à batterie. En fait, cela ne pose pas de problème, car alors que BMW utilise jusqu’à présent des plates-formes de véhicules à combustion électrifiées, la « Nouvelle Classe » doit à l’inverse devenir une e-architecture qui peut également être équipée de moteurs à combustion.

Tout sauf lisse : à l’arrière aussi, la nouvelle BMW X3 présente de nombreux angles et arêtes.
La plate-forme évoluera, mais conservera sans doute les quatre et six cylindres qui développent actuellement entre 180 et 510 ch environ sur la route. S’y ajoutent les hybrides plug-in, dont deux versions sont attendues. Une future variante M ne devrait pas non plus miser uniquement sur la puissance de l’essence, on pourrait imaginer un six cylindres soutenu par des moteurs électriques d’au moins 550 ch.
Le nouveau X3 pourrait démarrer à 60.000 euros

L’intérieur pourrait s’inspirer du grand SUV iX, bien rangé et avec de grands écrans.
Dans l’habitacle, le X3 numéro quatre sera encore plus numérique, de nombreux extras comme les sièges chauffants ou les systèmes d’assistance pourront être achetés ultérieurement par mise à jour logicielle. Le cockpit devrait s’inspirer du SUV électrique iX, dans un style épuré et avec des écrans XXL.
Il est pour l’instant difficile de prédire combien coûtera le nouveau X3 lorsqu’il sera commercialisé en 2025. Actuellement, le SUV démarre à un peu plus de 53.000 euros, mais dans trois ans, il pourrait déjà frôler la barre des 60.000 euros.