Les pistes de bétail de la belle Ammerland (Basse-Saxe) attendaient avec impatience leur mobil-home d’occasion, ont enlevé une partie du mur du jardin, coupé des rhododendrons et entassé du gravier blanc pour l’espace de stationnement. Et puis ça… Au secours, on a acheté de la camelote ! Le camping-car a coûté 17 500 euros, un Fiat Ducato de 1995, près de 200 000 kilomètres au compteur, carrosserie Fendt, d’une longueur de 6,75 mètres il y a un lit double, douche, WC, réservoir d’eau, cuisine, coin salon. Et l’humidité !
«Nous avons récupéré le camping-car chez un concessionnaire à la mi-septembre 2021», explique Bertram Viehweg (71 ans). Le retraité est un électricien de formation, compétent dans son métier et s’est immédiatement mis au travail. La salle de bain a été relookée, les murs repeints, un nouveau matelas obtenu, la sellerie réalisée. Mais ensuite vint la grosse pluie d’octobre, et puis il y eut cette odeur de moisi.

Krass : Le camping-car d’occasion du Viehweg s’est avéré complètement pourri.
Le plancher du véhicule était totalement pourri
Viehweg a sorti une armoire juste à côté de l’entrée latérale : « Tout est pourri ! Puis il ramassa le revêtement de la porte d’entrée : du bois en dessous, du polystyrène au-dessus, le revêtement de sol. Mais même ici, tout a pourri. Il a failli s’écraser sur le lit et les toilettes, c’est tellement pourri. Un cas clair pour l’expert Oliver Hallix de Wilhelmshaven, qui est également le vice-président de la Caravaning Expert Association (CGF) et qui inspecte les camping-cars pour l’ADAC avec ses collègues. Malheureusement, celui-ci seulement après l’achat. Hallix est sur 180 quand il voit un tel bâcle : « En raison de la forte demande, le marché des camping-cars est tellement surchauffé qu’une telle ferraille mobile est proposée. »

Le jugement des experts était clair : le véhicule n’est pas en état de rouler et devrait être radié.
Le mobil home s’est avéré être une perte économique totale
Le revendeur n’a-t-il pas fait un contrôle d’humidité lorsque vous l’avez acheté ? Selon l’avis d’expert, une chose est sûre : perte économique totale, la réparation professionnelle coûte 25 411,34 euros. Hallix recommande : « Désabonnez-vous immédiatement. Le camping-car est en état de rouler, mais pas en état de rouler. » Les routes du bétail ont engagé un avocat. Ralf Rosenbäck met la pression, dit : « Une amélioration ultérieure n’est pas raisonnable car la relation de confiance a été détruite. »

En conversation avec les personnes concernées : le journaliste d’AUTO BILD Andreas May (à gauche) a eu une idée de la situation.
Puis AUTO BILD s’allume, au bout d’une journée le concessionnaire répond par mail : « Bien entendu nous sommes toujours prêts à faire face aux demandes de garantie et à reprendre le véhicule à la demande du client contre remboursement du prix d’achat. Train juste ! Le détaillant souhaite également vérifier ses normes de qualité afin qu’une telle situation ne se reproduise plus. Peut-être avec le contrôle du camping-car ADAC. Hallix et ses collègues du CGF examinent tous les dommages à travers l’Allemagne à partir de 199 euros – à des fins commerciales et privées. Les Viehweg font également le pari qu’ils veulent à nouveau un vieux camping-car neuf !