À l’avant, des phares étroits, des feux de jour à LED en forme de Z et des panneaux dorés dans le pare-chocs. La ligne de vitrage se prolonge à plat vers l’arrière, comme dans un coupé, les poignées de porte avant sont encastrées à fleur et celles de l’arrière sont cachées dans le montant C. À l’arrière, on trouve une bande de feux continue ainsi que d’autres touches de couleur dorée. Le cockpit est dominé par les deux grands écrans – 12,3 pouces pour les instruments et 12 pouces en format vertical pour le multimédia. Le système s’appelle OpenR, fonctionne sous Android et réagit à « Hey Google » pour commander de nombreuses fonctions. Il s’agit notamment de services tels que Google Maps, Assistant et Play. Pour les amateurs d’Apple, il est également possible d’intégrer Apple CarPlay.

Tout à fait correcte : avec sa batterie de 60 kWh, la Mégane électrique devrait pouvoir parcourir jusqu’à 450 kilomètres selon WLTP.
La Mégane électrique a un petit air de GTI
Notre Mégane d’essai était équipée de la batterie de 60 kWh. Le poids à vide est donc relativement faible, à savoir 1624 kg. En combinaison avec les 218 ch du moteur électrique, il en résulte un comportement routier assez vif, presque avec un soupçon de GTI. Renault promet une accélération de 0 à 100 km/h en 7,4 secondes, la vitesse de pointe étant de 160 km/h. La voiture est donc très agréable à conduire.
Comme chez les concurrents, le degré de récupération peut être réglé par des palettes au volant, ce qui fonctionne très bien. En outre, il existe les modes de conduite typiques : Eco, Comfort, Sport et Individual – nous supposons que la plupart des gens resteront sur Comfort, ce qui ne diminue pas sensiblement le plaisir de conduire. La direction réagit rapidement et de manière étonnamment directe – mais reste en quelque sorte insensible.

Le punch électrique : les 218 ch propulsent la Mégane E-Tech de l’arrêt à 100 km/h en 7,4 secondes.