Voiture électrique : voici les 15 meilleures voitures électriques - CarBestPlace.fr

Voiture électrique : voici les 15 meilleures voitures électriques


Malgré la hausse des prix de l’électricité : L’intérêt pour les voitures électriques en Allemagne continue de croître. La part des voitures purement électriques à batterie (BEV) dans les nouvelles immatriculations de janvier à septembre 2022 (13,83 %) a augmenté de 3,87 points de pourcentage, soit 38,86 %, par rapport à la même période de l’année précédente (9,96 %).

En septembre 2022 seulement, la part des voitures purement électriques dans le total des nouvelles immatriculations était, avec 19,7 pour cent, également nettement supérieure à celle du même mois en 2021 (17,1). À titre de comparaison, la part des nouveaux véhicules diesel, malgré une augmentation de 17% exactement, reste derrière les BEV. Il n’est donc pas étonnant que le nombre de demandes de primes à l’achat visant à promouvoir l’électromobilité continue de croître.

Les meilleures voitures électriques du moment

Produits sélectionnés dans un tableau récapitulatif

Audi Q4 e-tron 40

Audi Q4 e-tron

BMW iX xDrive50

BMW iX

Hyundai Ioniq 5

Hyundai Ioniq 5

Kia Niro EV

Kia Niro EV

Kia EV6

Kia EV6

Mazda MX-30

Mazda MX-30

Opel Corsa-e

Opel Corsa-e

Skoda Enyaq iV 80

Skoda Enyaq iV

Tesla Model 3

Tesla Model 3

Toyota BZ4X

Toyota bZ4X


Le choix de modèles, de tailles de batteries et de techniques de charge ne cesse lui aussi de s’élargir. Il devient donc difficile de s’y retrouver. C’est pourquoi AUTO BILD présente les 15 voitures électriques les plus attrayantes. Voici les informations les plus importantes : ce qu’elles peuvent faire, combien elles coûtent et ce qui les rend spéciales ! (Tous les prix indiqués dans l’article sont ceux des constructeurs, les éventuelles primes d’encouragement doivent être déduites).

▶︎ Kia Niro EV – le roi des coûts et des avantages

La première génération du crossover SUV électrique Kia Niro s’était déjà fait remarquer par son efficacité de pointe : même en hiver, le véhicule affichait une consommation réelle inférieure à 20 kWh aux 100 km. Son successeur devrait faire encore mieux. Il utilise la même plate-forme, mais a repris de nombreux éléments de design du Kia EV6, plus chic, comme le volant.

La Kia Niro EV est l’une des voitures électriques les plus économiques du marché. Légèrement plus grande que son prédécesseur, elle dispose également d’une batterie un peu plus volumineuse : l’accumulateur d’énergie a désormais une capacité de 64,8 kWh. Si la première génération (à partir de 2018) comportait encore deux niveaux de puissance, Kia propose désormais le Niro EV exclusivement avec 204 ch.

Jusqu’à 460 km d’autonomie selon la norme WLTP

Elle peut rouler jusqu’à 167 km/h et a une autonomie de 460 km selon la norme de mesure WLTP. Le modèle précédent, équipé d’une batterie de 64 kWh et d’un moteur de même puissance, avait une autonomie documentée de 455 km. En revanche, son prix relativement avantageux : à partir de 39 990 euros, la Niro EV est un petit roi en matière de coûts et d’avantages.

Le mode One-Pedal de série est particulièrement confortable. Le véhicule peut alors être conduit exclusivement avec la pédale d’accélérateur ; le freinage se fait en grande partie avec une poignée au volant qui contrôle le degré de récupération. L’affichage tête haute et l’assistant de stationnement sont disponibles en option.

Une voiture qui fait simplement son travail

Le réglage du châssis est adapté aux masses : ni trop dur, ni trop souple, une voiture pour glisser. Hauke Schrieber, collègue d’AUTO BILD, après avoir testé le prototype pour la première fois : « La voiture ne vous lance pas de défis, elle fonctionne tout simplement ». La Kia Niro est une voiture qui vous laisse tranquille et qui fait simplement son travail.

Le point fort de la Kia Niro EV est avant tout son rapport qualité-prix. Schrieber : « Une voiture qui n’a pas vraiment de points faibles ».

Kia Niro EV (204 ch, batterie de 64,8 kWh, autonomie max. de 460 km) ; prix : à partir de 39 990 euros

▶︎ BMW iX – modèle haut de gamme de Bavière

Le SUV mesure près de cinq mètres de long, 1,70 mètre de haut et pèse environ 2600 kilogrammes. Malgré cela, le modèle haut de gamme doit accélérer de 100 km/h en moins de cinq secondes grâce à une puissance allant jusqu’à 523 ch – et atteindre une autonomie de plus de 600 kilomètres avec une seule charge de batterie.

Le rein reste une affaire de goût, mais en matière d’autonomie, la BMW iX toute fraîche n’a rien à envier à personne.

La BMW iX a été conçue comme une voiture électrique

Jusqu’à 630 kilomètres, la batterie géante (111,5 kWh brut) fournit de l’énergie à l’imposant SUV. Avec ses 4,95 mètres de long, le fleuron de la technologie bavaroise n’est que légèrement plus long que son frère du groupe, la BMW X5.

Parce qu’elle a été conçue exclusivement comme une voiture électrique, l’iX profite de l’encombrement réduit du moteur, de la transmission, etc. pour proposer un concept d’habitacle très aéré.

Charge rapide : La BMW se recharge jusqu’à 200 kW

Écran incurvé, matériaux fins et surfaces chauffantes se retrouvent dans le cockpit de la BMW iX.

De plus, elle offre une ambiance raffinée, le tout nouveau système de commande iDrive et une vitesse de charge allant jusqu’à 200 kW. Ainsi, l’iX peut être rechargée de 10 à 80 pour cent en 40 minutes. Concrètement, cela signifie qu’en dix minutes, on obtient 120 kilomètres d’autonomie supplémentaire.

Une suspension pneumatique propre

L’impression de conduite : il roule de manière extraordinairement silencieuse, même à grande vitesse. Des astuces comme une couche de mousse à l’intérieur du pneu y contribuent. La suspension pneumatique fonctionne avec beaucoup de finesse et de réserves.

Il faut toutefois se concentrer pour faire avancer cette voiture à la fois lourde et large sur ses roues de 22 pouces sur des routes de campagne étroites sans la moindre erreur.

BMW iX 40 xDrive (326 ch, batterie de 76,6 kWh, autonomie maximale de 425 km) ; prix : à partir de 77 300 euros
BMW iX 50 xDrive (523 ch, batterie de 111,5 kWh, 630 kilomètres d’autonomie maxi) ; Prix : à partir de 100.100 euros

▶︎ Kia EV6 – un support technologique élégant

La Kia EV6 se charge presque aussi vite qu’une Porsche Taycan. La Corée peut être électrique ! Kona et Co l’ont déjà prouvé, la Kia EV6 arrive sur une nouvelle plateforme E-GMP de la maison mère Hyundai.

La technique impressionne entre autres par sa vitesse de chargement énorme : grâce au système 800 volts, l’EV6 fait passer sa batterie de 10 à 80 pour cent de charge en 18 minutes – ou fait le plein de 100 kilomètres d’autonomie en quatre minutes et demie. Même la pause-café n’est pas de trop.

Avec ses 4,68 mètres de long, l’EV6 est plus un Shooting Brake surélevé qu’un SUV. Et elle peut aussi rouler – dans des variantes très différentes : avec traction arrière ou quatre roues motrices, avec une batterie de 58 ou 77,4 kWh, avec une puissance de 170 à 585 ch et une autonomie allant jusqu’à 528 kilomètres.

Kia EV6

La Kia EV6 convainc non seulement par son apparence, mais surtout par sa capacité à se recharger incroyablement rapidement.

Impression de conduite du rédacteur d’AUTO BILD Andreas May : « Le fait qu’un colosse de deux tonnes se laisse pousser dans les virages avec une telle maniabilité et presque sans mouvements de roulis ne cesse de nous étonner. Ils ont tout conçu sur l’EV6 de manière ferme, le châssis, la direction et, en mode sport, la courbe caractéristique de l’accélérateur. Si tu y tiens, la voiture te semble un peu plus petite dans toutes les situations ».

À l’intérieur, la Kia offre beaucoup d’espace

L’espace disponible dans l’habitacle n’est pas si petit : 2,90 mètres d’empattement ! Ce sont surtout les passagers arrière qui en profitent, ils peuvent croiser les jambes, relier leur téléphone portable par câble au siège avant ou à la console centrale ou utiliser la prise 220 volts. Six prises de charge ont été trouvées.

Grâce à l’adaptateur de prise, la EV6 sert de source d’électricité

En cas de besoin, l’EV6 peut aussi faire fonctionner votre machine à laver ou charger votre vélo électrique : grâce à un adaptateur de prise, l’EV6 peut servir de source d’électricité. Il suffit de brancher un adaptateur dans la prise de charge et l’alimentation en courant à l’extérieur est assurée – ce service n’est toutefois proposé que par le niveau d’équipement le plus cher.

Andreas May juge : « La nouvelle Kia EV6 n’est pas une offre spéciale, mais son offre est de classe spéciale. Elle se charge deux fois plus vite que ses concurrentes VW, elle a une conduite sportive et ferme, elle a vraiment beaucoup de place. C’est actuellement la meilleure voiture électrique dans cette catégorie de prix ». Prix : à partir de 46.990 euros

▶︎ Mercedes EQS – Classe S avec E-Power

Outre la base technique, Mercedes emprunte également de nouvelles voies avec l’EQS sur le plan esthétique. Un empattement long, des porte-à-faux courts et une ligne de toit presque van. Un luxe silencieux ! La Mercedes EQS est la nouvelle référence en matière de voitures électriques. Et ce que la Classe S peut faire, le client EQS le veut bien sûr aussi.

La Daimler enthousiasme en tant que vaisseau amiral premium

Sous le toit en dôme, les passagers du vaisseau amiral premium de 5,22 mètres bénéficient donc d’un grand confort. Dans le cockpit, le paysage d’écrans de 1,41 mètre de large, entre autres, impressionne.

De plus, la résistance à l’air bat des records : avec un coefficient de traînée de 0,20, la Mercedes aérodynamique tire jusqu’à 768 kilomètres d’autonomie de sa batterie de 107,8 kWh.

À l’avant, on retrouve le « visage EQ » désormais bien connu, avec une calandre suggérée à laquelle les phares se raccordent sans rupture.

Mercedes EQS 580 4Matic

Ce que la Classe S peut faire, la clientèle visée l’attend aussi de la Mercedes EQS.

AUTO BILD a bien sûr conduit l’EQS 580 en long et en large. Constat : sa conduite est souple, presque ludique. L’essieu arrière braque à dix degrés, ce qui permet à ce poids lourd de plus de 2,5 tonnes d’enchaîner les virages avec aisance.

Malgré son poids à vide élevé, l’EQS est capable de sprints rapides. L’EQS 580 à quatre roues motrices de 524 ch et 855 Nm accélère de 0 à 100 km/h en 4,3 secondes ; l’EQS 450+ optimisé pour l’autonomie a besoin de 6,2 secondes. Les deux variantes sont bridées à 210 km/h.

En termes de prix, l’EQS joue dans la cour des grands

Avec le système Drive-Pilot, elle inaugure la prochaine étape de la conduite automatisée ! Et bien sûr, en termes de prix, elle joue aussi dans la cour des grands.

Mercedes EQS 450+ (333 ch, batterie de 107,8 kWh, autonomie maximale de 768 km ; prix : à partir de 109.551 euros)
Mercedes EQS 580 4Matic (524 ch, batterie de 107,8 kWh, autonomie maximale de 671 km ; prix : à partir de 141.705 euros)

▶︎ Hyundai Ioniq 5 – une œuvre de designer

Le frère de marque de la Kia EV6 sait lui aussi impressionner par son design insolite et, sur demande, par ses performances. Elle se charge aussi rapidement que son collègue de la plateforme, elle dispose également de deux batteries (58 et 72,6 kWh) et de niveaux de puissance allant de 170 à 305 CV.

Sur la photo, elle ressemble presque à une compacte à la VW Golf, mais en réalité, le véhicule électrique de 4,63 mètres est un peu plus grand.

La Hyundai Ioniq 5 est avant tout intelligente.

L’une des caractéristiques les plus remarquables de la Ioniq 5 est sa conception plutôt intelligente. Le plancher plat et la console centrale peu encombrante donnent une sensation d’espace.

Grâce aux deux grands écrans, le cockpit est à la fois moderne, luxueux et indépendant. Le coffre a une capacité de 527 à 1587 litres, et sous le capot se trouve un petit compartiment de 57 litres (24 litres sur les modèles à transmission intégrale).

Hyundai Ioniq 5

La Hyundai Ioniq 5 surprend avec des détails délirants, comme par exemple un toit solaire en option.

Hyundai intègre à la voiture des détails que l’on trouve rarement ailleurs : Sur l’écran numérique du conducteur, des images vidéo aident à couvrir l’angle mort ; grâce à une prise de courant de 230 volts, il est également possible de recharger un ordinateur portable ou autre. Et sur simple pression d’une touche dans la clé (supplément de prix), la voiture se déplace aussi silencieusement qu’elle le fait elle-même pour sortir des places de parking étroites.

Un toit solaire est même proposé en option ; selon Hyundai, il assure jusqu’à 2000 kilomètres d’autonomie supplémentaire par an.

Voici le résultat du test de la Hyundai électrique

Jugement de l’essayeur d’AUTO BILD Jan Horn : « En tant que voiture électrique, c’est très bien, avec en plus des performances de conduite souveraines. Grâce à une tension de 800 volts dans le système, la Hyundai se recharge très rapidement dans le meilleur des cas. Elle compense les petites faiblesses d’utilisation par son originalité ».

En termes de prix, la Ioniq 5 est même un peu moins chère que la Kia EV6 ; la Hyundai est disponible à partir de 43.900 euros !

▶︎ Audi Q4 e-tron – SUV premium

La mobilité électrique aux quatre anneaux à un prix abordable ? C’est ce que propose actuellement le Q4 e-tron ! Elle est basée sur le système modulaire électrique MEB de VW et, avec ses 4,59 mètres de long, n’est pas forcément petite. À l’arrière, le grand empattement profite surtout à l’espace pour les jambes. Elle se situe à peu près au niveau d’un Q7 actuel. Cela signifie pour la deuxième rangée une qualité pour les longs trajets.

Frères de technologie : Audi Q4 e-tron, Skoda Enyaq iV et VW ID.4

La Q4 e-tron est encore un peu plus chic en version Sportback avec un arrière plat, mais elle coûte alors 2000 euros de plus et a moins de volume de coffre. La Q4 e-tron est en grande partie identique à la VW ID.4 et à la Skoda Enyaq iV. Le cockpit semble très technique, ce qui est notamment dû au nouveau volant Audi. Le déflecteur porte pour la première fois les anneaux Audi en 2D.

En revanche, les deux variantes de carrosserie peuvent aller vite, la version haut de gamme 50 quattro sprinte à 100 km/h en 6,2 secondes – la vitesse maximale de 180 km/h est toutefois bridée pour des raisons d’hygiène d’autonomie.

L’Audi Q4 e-tron surprend au volant

Deux tailles de batterie (55 et 82 kWh) sont disponibles, ainsi que la traction arrière et la traction intégrale, et quatre niveaux de puissance (170 à 299 ch) et jusqu’à 534 kilomètres d’autonomie. Comment roule-t-il ? Elle pèse déjà plus de deux tonnes sans les bagages et les personnes à bord, mais elle est néanmoins aussi maniable qu’une petite voiture.

Le poids de la batterie plus importante (environ 500 kilogrammes !) est réparti à plat et soigneusement étalé sur le plancher du SUV. Le Q4 est donc très stable. En même temps, la voiture a des suspensions aussi douces, riches et souples qu’une grosse berline (notamment grâce à la régulation optionnelle des amortisseurs).

Conclusion de l’essayeur d’AUTO BILD Jan Horn : « Un mélange de miracle d’espace et de surprise de sprint – la Q4 e-tron est réussie. Elle se conduit de manière impeccable ». Prix : à partir de 51 900 euros

▶︎ Skoda Enyaq iV – un E-SUV bon marché

La Skoda Enyaq est actuellement l’une des voitures électriques les plus intelligentes. Avec un design de classe, de l’espace et des caractéristiques de conduite agréables. La voiture spatiale tchèque ! Bien sûr, elle est avant tout pratique, elle suit donc parfaitement la philosophie de la marque Skoda et brille par son espace.

Avec des dimensions de 4,65 mètres de long et 1,88 mètre de large, le SUV électrique se situe entre le Karoq et le Kodiaq.

La Skoda est disponible en quatre puissances de propulsion

L’empattement long de près de 2,8 mètres et les porte-à-faux extrêmement courts sont typiques d’une voiture électrique. La filiale de VW propose quatre puissances de propulsion (148 à 265 ch) et trois tailles de batterie (55, 62 et 82 kWh). Les moteurs les plus faibles doivent toutefois se contenter des petites sources d’énergie.

Skoda Enyaq iV 80

Typiquement Skoda : avec l’Enyaq, les Tchèques proposent une voiture électrique particulièrement axée sur le bon sens.

La batterie haut de gamme offre jusqu’à 536 kilomètres d’autonomie, des options intelligentes (comme des parapluies dans les portes avant) sont toutes embarquées. Le cockpit semble très aéré et ne pose aucun problème. L’écran du compteur de vitesse est toutefois assez petit. Pour avoir plus d’informations sur la conduite dans son champ de vision, il faut commander l’affichage tête haute (dans le pack Infotainment Plus pour 1590 euros).

Pratique : la lunette arrière est relativement inclinée, ce qui contribue à un coffre bien utilisable. Pour ceux qui préfèrent un toit en pente douce, l’Enyaq existe aussi en version coupé.

Dans le trio Volkswagen (avec VW ID.4 et Audi Q4 e-tron), la Skoda Enyaq est le modèle électrique pour calculateurs. Elle offre le plus d’espace et son prix d’entrée de gamme est très attractif. L’Enyaq iV est disponible à partir de 42.100 euros.

▶︎ Mazda MX-30 – SUV compact haut de gamme

Le deuxième plus petit candidat de notre série – et le Mazda MX-30 fait beaucoup de choses différentes des autres. Il a par exemple un intérieur cool avec des matériaux originaux (liège, textiles durables) et des portes arrière à ouverture antagoniste.

Mais le concept des portes est particulier – et ne facilite pas forcément le quotidien. Surtout dans les places de parking étroites, on se retrouve vite coincé entre les portes.

La Mazda est la meilleure pour le quotidien

Avec sa petite batterie (35,5 kWh), le MX-30 veille à ce que la nostalgie du domicile ne soit pas trop grande – l’autonomie est de 200 kilomètres maximum.

Au lieu de cela, il se recommande comme un compagnon intelligent au quotidien, se faufilant de manière compacte dans la plupart des places de stationnement et offrant suffisamment de jus pour la ville et les distances plus courtes.

Avec 145 CV, le MX-30 est bien servi

D’ailleurs, Mazda affirme que la petite batterie est intentionnelle. Selon les ingénieurs, moins de cellules de batterie sont produites, plus l’environnement est préservé. Le problème de l’autonomie devrait bientôt être résolu par un moteur Wankel à essence faisant office de mini-centrale électrique embarquée. C’est ce qu’on appelle un prolongateur d’autonomie. BMW l’a déjà utilisé dans sa i3.

L’écran central est un peu petit, mais la commande intuitive et les matériaux plaisent. Pour l’instant, une seule puissance est disponible, mais avec 145 ch, la petite électrique est bien servie. Et après déduction de la subvention pour les voitures électriques, elle est déjà disponible pour moins de 25 000 euros. Prix : à partir de 35.990 euros

▶︎ Smart EQ fortwo – la citadine idéale

L’Allemand moyen parcourt en moyenne moins de 40 kilomètres par jour en voiture. Le trajet aller-retour pour se rendre au travail représente en général moins de la moitié. Des trajets qui semblent taillés sur mesure pour la Smart EQ fortwo.

Avec son moteur électrique de 60 kW, cette voiture à deux places se prête mieux que toute autre voiture à une utilisation urbaine efficace. La mini-batterie de 16,7 kWh (autonomie officielle de 159 kilomètres, en réalité plutôt 120) ne permet pas de longs voyages.

Smart EQ Fortwo

En termes de dimensions et de comportement routier, la Smart EQ fortwo est idéale pour la jungle urbaine.

Poids à vide d’une tonne, propulsion arrière, couple instantané de 160 Nm – la conduite semble même sportive. Malgré son empattement court, la Smart EQ fortwo se montre sûre dans sa conduite, même à vitesse maximale, elle reste stable et maniable.

Et même à l’arrêt, la citadine fait valoir ses atouts – lorsqu’un mini-espace au bord de la route est utilisé pour se garer.

Une foule de commodités dans la E-Smart

D’ailleurs, lors d’une analyse du TÜV, la Smart fortwo Electric Drive a obtenu le meilleur résultat avec un taux de défauts de 3,5 pour cent parmi quatre voitures électriques contrôlées.

Et l’équipement ? Dans la version « prime », la voiture électrique compacte est dotée de commodités telles que des revêtements en cuir noir avec surpiqûres, des rétroviseurs extérieurs électriques et une climatisation automatique.

Les sièges chauffants ainsi que les jantes 16 pouces en 8-Y font également partie de l’équipement de série – autant de choses auxquelles on ne s’attend pas dans un petit véhicule électrique.

Ainsi richement équipée, la Smart EQ fortwo prime coûte au moins 24 740 euros. Mais il faut encore déduire de ce prix 9000 euros de bonus écologique et 570 euros d’économie de TVA. Prix : à partir de 21.940 euros

▶︎ Tesla Model 3 – la voiture électrique la plus vendue au monde

Aucune autre voiture électrique ne jouit d’une telle popularité dans le monde que la Tesla Model 3. Avec plus d’un million d’exemplaires vendus, la petite Tesla est la voiture à batterie électrique la plus vendue.

Après son lancement sur le marché en 2017, la Model 3 sillonne également l’Allemagne depuis 2019. Typiquement Tesla : la Model 3 séduit par son design minimaliste, sa technologie de pointe et sa grande autonomie.

Il faut compter au moins 49 990 euros pour la Tesla

On commence par la version de base avec un moteur électrique de 325 ch sur l’essieu arrière et une autonomie de 491 kilomètres selon WLTP. Pour cette variante, il faut investir 49.990 euros.

Le modèle haut de gamme « Performance » distribue jusqu’à 510 ch aux quatre roues. Pour acquérir cette Tesla Model 3, il faut débourser 63 490 euros.

Et qu’obtient-on pour son argent ? La Tesla a obtenu des résultats tout à fait positifs lors du test réalisé par AUTO BILD et a décroché cinq étoiles au crash test.

Ces mises à jour sont prévues pour la Model 3 en 2022

En 2022, plusieurs mises à jour sont prévues pour la Model S. La liste comprend notamment un processeur plus puissant pour l’infodivertissement, une batterie lithium-ion pour le système 12 volts, une lunette arrière avec vitrage acoustique et ce que l’on appelle un « super klaxon » – le klaxon, le système d’alarme et les haut-parleurs extérieurs fonctionnent alors de manière combinée.

Le modèle Performance devrait en outre subir des modifications au niveau de la propulsion, ce qui permettrait d’augmenter la puissance. La version de base aura une plus grande autonomie. Prix : à partir de 49.990 euros

▶︎ Opel Corsa-e – bien plus qu’une petite voiture électrique

La première chose qui attire positivement l’attention sur l’Opel Corsa-e, c’est qu’elle ne se fait pas trop remarquer. La petite Opel n’est en effet pas un vaisseau spatial. Au contraire, on ne peut distinguer la version thermique de la version électrique que par l’absence de pot d’échappement. C’est une aubaine pour tout électromobilien potentiel qui n’a jamais pu s’habituer à l’apparence d’une BMW i3.

La Corsa électrique se déplace à toute allure

Au volant, la Corsa électrique se distingue par son talent sportif. Son centre de gravité est six centimètres plus bas que celui de la voiture thermique et sa carrosserie est 30 % plus rigide.

À cela s’ajoutent les kilos supplémentaires dus à la batterie. Ainsi installée, la E-Corsa se faufile dans les coins avec une rapidité déconcertante. Ses 136 ch lui donnent une bonne poussée. En mode « Eco » (82 ch), elle reste en outre proche de la consommation indiquée par Opel.

La Corsa-e a déjà fait ses preuves de manière impressionnante

Bien sûr, la comparaison directe avec ses frères thermiques révèle aussi des inconvénients : Le poids de la Corsa électrique est plus élevé et l’espace dans le coffre est plus petit. Mais AUTO BILD a constaté à l’automne 2020 qu’en comparaison directe, tout parle en faveur de la E-Corsa. Prix : à partir de 33 895 euros

▶︎ Volvo XC40 Recharge – elle roule de manière remarquablement détendue

Lorsque l’on se trouve pour la première fois devant la Volvo XC40 Recharge, il faut d’abord se rendre compte, avec ses 1,86 mètre de large et 1,65 mètre de haut, qu’il s’agit du petit SUV du constructeur suédois. Les portes ont des poignées classiques en forme d’étrier et émettent un « plop » puissant lorsqu’elles se ferment. C’est tout à fait ce que l’on attend d’une Volvo.

L’heure de gloire de la XC40 Recharge sonne lorsqu’on la conduit nonchalamment en ville et à la campagne en mode mono-pédale. On est alors si agréablement ralenti qu’on s’étonne qu’aucun rédacteur marketing intelligent n’ait encore érigé cette expérience en bien-être pendant la conduite. Le réglage axé sur la sécurité s’y prête bien. Elle fait de la Volvo un compagnon de route tout à fait confortable.

Habitacle entièrement revêtu de tissu végétalien

En ce qui concerne l’équipement, il y a de quoi faire. Le point fort pour les amateurs de durabilité : Volvo renonce complètement aux matières premières animales pour le revêtement de l’habitacle ! Pour cela, on lève le pouce. D’autant plus que le cuir reconstitué, qui coûte 950 euros, n’enlève rien à l’impression de qualité.

Possibilité d’amélioration : Par des températures hivernales, le XC40 Recharge de 231 ch à traction avant est resté bien en deçà de l’autonomie indiquée de 400 kilomètres. Prix : à partir de 47.500 euros

▶︎ VW ID.Buzz – Hommage au Bulli originel avec des qualités modernes

En septembre 2022, les premiers exemplaires du VW ID.Buzz ont été livrés en Europe. Avec ses porte-à-faux courts, sa peinture bicolore et son grand logo à l’avant, le E-Bulli s’inspire du VW T1, le véhicule qui suscite la sympathie.

Fait réjouissant : les surfaces vitrées sont grandes. Cela devrait favoriser la visibilité. En plus du break destiné aux familles, il y aura une version pour les charges appelée « Cargo ».

La Buzz est une ID-VW typique

En comparaison, l’ID.Buzz sera plus court et plus bas que le VW T7. L’accès est agréablement élevé. Ceux qui ont déjà conduit un membre de la famille ID de VW s’y retrouveront sans problème dans l’habitacle.

Exemple : le volant multifonctions actuel avec surfaces tactiles sera également disponible dans l’ID.Buzz. À l’arrière de l’ID.Buzz, on est assis comme dans un mini-van. Le coffre est très spacieux.

La VW ID.Buzz offre jusqu’à 450 kilomètres d’autonomie

Lors d’un premier essai prolongé, un prototype de l’ID.Buzz a surpris par son petit rayon de braquage de onze mètres. La batterie de 77 kWh logée dans le plancher de la voiture devrait permettre de parcourir entre 400 et 450 kilomètres.

Dans la pratique, il faut probablement déduire 20 % de cette valeur. Mais dans ce cas, la valeur reste très correcte. Le châssis est réglé de manière harmonieuse, l’ID.Buzz plane doucement sur l’asphalte. Prix : à partir de 64.581 euros

▶︎ Toyota bZ4X – SUV compact électrique anguleux

En 2050, Toyota veut atteindre la neutralité carbone. Pour cela, les modèles hybrides éprouvés ne suffisent pas. C’est pourquoi la sous-marque électrique bZ fait son apparition. Cela signifie « beyond zero » et doit montrer l’objectif d’une absence d’émissions locales. Le premier rejeton de la nouvelle marque s’appelle bZ4X.

Le bZ4X a un dessin anguleux typique de Toyota et a à peu près le format du RAV4. Le développement a eu lieu en collaboration avec Subaru. À l’intérieur, un cockpit futuriste attend le propriétaire potentiel, avec un volant carré de style Tesla (à partir de 2023) et un écran numérique.

Mises à jour « over-the-air » et pour l’instant deux motorisations

Le réseau déjà très dense d’assistants Toyota a quelques nouvelles fonctions à proposer et doit ainsi offrir encore plus de protection. Pour être toujours à la pointe, le logiciel embarqué s’améliore régulièrement via des mises à jour « Over-the-Air ».

Dans un premier temps, deux versions de propulsion seront disponibles, l’une à traction avant (204 ch) et l’autre à quatre roues motrices (218 ch). Toutes deux tirent leur énergie d’une batterie de 71,4 kWh. Selon le constructeur, cela donne une autonomie de plus de 450 kilomètres en fonction de la motorisation. Prix : 47.490 euros.

▶︎ MG5 Electric – le premier break électrique

Le premier véritable break électrique nous vient de Chine. Elle s’appelle MG5 Electric et offre beaucoup d’espace et jusqu’à 400 kilomètres d’autonomie. Mais le vrai hit, c’est son prix : prime incluse, la Chinoise est déjà disponible pour 28.920 euros.

Bien sûr, la MG n’est pas parfaite. La banquette arrière est positionnée trop bas et les passagers arrière doivent plier les jambes. La charge maximale est de 87 kW. Ce n’est pas un hit en comparaison avec l’état actuel de la technique.

Un rapport qualité-prix élevé

Mais la MG a un aspect plaisant et est loin d’être mal finie. Les commandes ont été conçues de manière logique et claire. La tenue de route est correcte et correspond bien à la nature fondamentalement confortable de la MG. Et cela pour le prix …

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